Seule Française –« ah non, il y a aussi une U19 avec moi, Laetitia Lantz »- au milieu d’une armada étrangère, l’étudiante en Langue des signes s’efforce de faire le métier. Non sans difficultés. « Ce n’est pas évident de se situer dans la hiérarchie nationale lorsque vous ne courez qu’avec 20 ou 25% de Françaises. » L’émulation n’en est pas moins saine et pousse la « petite du sérail » à remettre sans cesse les bouchées doubles pour progresser.