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Des sourds critiquent plan d’intégration scolaire

[Attention : Traduite]

Selon Pamela Moulin à huile l’intégration des sourds est un idéal qui doit être atteint à la brièveté, puisque le monde est sourds et auditeurs.

Bien qu’ils ne représentent pas plus que 1.8% de la population Chilien, les sourds cherchent – depuis le cadre de l’éducation – un espace pour s’intégrer à la société. Mais ils veulent le faire sous les mêmes conditions qu’un auditeur. Entre Temps le Mineduc annonce une commission des citoyens pour aborder le sujet, les protagonistes nous parlent des manques actuels et du manque de conditions dans les collèges pour respecter les différences.

« Les sourds nous avons le droit de vivre et être instruits dans notre langue propre et culture ». Avec cette phrase puissante comme drapeau de lutte Pamela Moulin à huile il a récemmentrécentement parti à New York à prendre part à la VI Convention des Nations Unies par la promotion, protection les droits et la dignité des personnes avec des invalidités.

Mais la position d’est jeune en ce qui concerne l’intégration à la société presque des 300 mille Chiliens avec des insuffisances auditives qu’a enregistrées la Première Étude Nationale de
l’Invalidité, il va au-delà des consignes. Non par rien il préside le Club Réel de Sourds (Cresor), elle est consultative du Fonadis et connaissance par sa lutte s’est en outre faite pour laquelle les canaux de télévision Chiliens incluent un cadre avec langage de signes dans leurs actualités.

En conversation avec la nation, depuis New York, Pamela reproduction à l’idée promue depuis ‘les 90 par le Ministère de l’Éducation d’intégrer à des élèves avec des invalidités
légères – entre lesquelles on compte la surdité – à des établissements éducationnels réguliers. « L’intégration est un idéal qui devrait être atteint à la brièveté, puisque le monde est sourds et auditeurs et nous devons apprendre à partager la différence « .

Cependant, le jeune, qui a perdu l’audition par 13 ans, il nuance son affirmation en ajoutant que le problème est l’actuel système d’intégration qu’il y a dans le pays, puisqu’il ne respecte pas la différence de de ce qui est destitué. « Il existe 11% de sourds qui n’ont jamais étudié. Le système d’intégration qui existe aujourd’hui dans le Chili n’a pas les conditions nécessaires de respecter la différence et d’adapter les standards éducatifs de sorte qu’ils permettent le
développement plein et l’assurance de cette différence d’identité qui est notre surdité « , il souligne.

À son avis « il n’existe pas une véritable éducation bilingue dans les écoles communes, il n’y a pas non plus d’interprètes et, généralement, il existe à peine un professionnel pour s’occuper des nécessités 40 ou de davantage d’étudiants sourds  »

Un cas

Dans le Collège Guillermo González Heinrich, de Ñuñoa, l’intégration on vit comme un objectif quotidien et cela est remarqué dans de petits détails comme l’existence d’une lumière puissante orange qui est allumée chaque fois qu’on entraîne le timbre qui marque le début et la fin des agréments.

Cet établissement, qui distribue neuf carrières entre lesquelles soulignent Mécanicien, Électronique, Administration, Tourisme et Secrétariat, compte avec un Plan d’Intégration qui unit dans une même routine études et coexistence plus de deux mille élèves auditeurs avec 37
étudiants sourds (15 femmes et 22 hommes).

Toutefois, la tâche n’est pas simple, spécialement pour ses protagonistes. »Ces jeunes doivent plus s’efforcer, la jouer à chaque minute pour apprendre et être toujours en suspens de de ce qu’il passe à son à autour « , il explique Andrea Pérez, un des deux professeurs différentiels à charge du groupe.

Ce qui est enseignante indique, sans cesser de faire les gestes de la langue de signes, qui « les sourds confrontent davantage d’exigences, parce qu’au-delà des contenus qui sont complexes et très techniques, ils doivent apprendre à être arrêté comme fonctionnaires dans une entreprise où ils seront sûrement entourés seulement d’auditeurs « .

Ainsi le comprend l’élève de quatrième moyen de la spécialité d’Administration, Karina Díaz, que, avec ses mots propres, il admet que, bien qu’ait senti l’appui et la compréhension les compagnons et les professeurs des auditeurs, il a de la peur du futur.

« Je sais que trouver un travail l’année prochaine sera le double de de compliquée pour moi, parce que le reste du monde moi ne va pas faire valoir comme là et les exigences suivront. C’est pourquoi, bien que je sache que peu de sourds de moi complètent ses études de je veux entrer à l’université et pour cela je me prépare déjà pour la PSU par Internet « , il explique avec ses mains et voix gutural.

Le chemin qu’il reste à parcourir

Le programme d’intégration du Mineduc fonctionne grâce à la livraison par l’État d’une subvention spéciale de 96 mille poids par élève. Avec ce chiffre, selon Andrea Pérez, il est financé à l’éducateur différentiel, aux spécialistes, à à ce qui est enseignants qui font des classes spéciales de renforcement, la salle de ressources, et autres nécessités d’appui pour les élèves sourds.

« Mais la subvention a été retardée parfois. Par chance ce qui est sostenedor a pu payer les frais, mais il manque toujours plus « , indique le professeur.

Silis Henríquez, mère d’un élève sourd de de huitième de base, il souligne, sans moyenne rouge, la nécessité qu’il y ait « des lois spécifiques sur l’invalidité qui permettent d’obtenir une insertion des sourds dans tous les niveaux sociaux. Selon mon expérience les initiatives du Ministère de l’Éducation en faveur de l’intégration terminent en étant transformé une affaire de bonne volonté que seulement quelques écoles prennent « .

Depuis le ministère, son titulaire, Sergio Bitar, il reconnaît que reste beaucoup chemin pour parcourir dans ce cadre et, à ligne rapprochée il annonce la réalisation rapide d’une
évaluation pour déterminer comment améliorer et focaliser la subvention qui est livrée à ce qui est destitués tu lèves.

Bitar avance aussi que dans les prochaines semaines « nous conformerons un Conseil des citoyens dans lequel seront représentés les pères d’enfants destitués. Nous aborderons là les politiques d’amélioration et clarifions toutes ses appréhensions « .

Pamela Moulin à huile est eu par claiux. Il insiste sur le fait que « les sourds méritent de recevoir du monde l’occasion de s’intégrer comme ils sont. Ceci n’est pas ségrégation, mais le droit à l’éducation dans les mêmes conditions et en même temps qu’un auditeur, non seulement en lisant les lèvres, dans une salle de classe distincte ou avec des photocopies « .

Source : http://www.lanacion.cl – 18/08/2005 à Espagne

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